C'est un film tiré d'un fait réel mais c'est l'apport du génial scénariste qui lui donne toute sa richesse.
Lire sa critique Publiée le 4 mars 2020
Un film d’une grande force qui parle de la foi, du pardon et du droit à une seconde chance. Mi-ange, mi-démon, son physique androgyne rappelle, comme le note finement la critique du Monde, à la fois James Dean et Jean Seberg.
Un film magnifique. Le film maintient toujours un équilibre relativement précaire, notamment grâce au mensonge qui constitue son noyau, mais il le fait toujours avec une grande maîtrise.
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"La Communion" est d’une singularité brûlante.
Il a d’ailleurs en sa possession le col romain qu’il avait dérobé à l’aumônier du centre pénitentiaire.
Cependant, c’est dans sa spontanéité et sa modernité que Daniel va parvenir à tenir son rang et à gagner la cause des paroissiens. Publiée le 11 mars 2020 La Communion, pourquoi avoir donné ce titre à l'adaptation française ?
les acteurs dans cette histoire dramatique sont convaincant dans leurs personnages
Bartosz Bielenia dans La Communion (2020) Pour raconter ce chemin de croix, le film n’hésite pas à varier dans les tons et à jouer sur l’ambiance. "La Communion" est tendu par un suspense : l'imposteur sera-t-il démasqué ? Car il a pour héros un faux prêtre, un imposteur, qui endosse une soutane qu'il n'a pas le droit de revêtir, mais aussi un homme profondément inspiré qui s'est construit une relation au divin autrement plus spontanée et sincère que celle générée par les lourdeurs du dogme.
Très bon film sur le pardon et la résilience, très bonne interprétation, film qui fait réfléchir sur comment pardonner l'impardonnable
De Des individus qui trompent leur monde en se faisant passer pour ce qu’ils ne sont pas, cela arrive régulièrement dans la vraie vie, et, par conséquent, cela arrive également dans le cinéma. De Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Affirmé mais confronté à un certain doute, il témoigne d’une volonté de bien faire, mais on semble l’empêcher, justement, de faire le bien. Wilson Yip En somme, c’est le menteur qui se conduit en véritable pasteur d’une communauté divisée qu’il s’emploie à guérir. Avec
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voilà un film "coup de poing dans la gueule", une histoire dure qui laisse entrevoir qu'il est tjrs possible de se transformer au delà d'un mauvais départ dans la vie, mais aussi qu'il est tout autant facile de régresser qd l'environnement ne favorise pas la réinsertion, bref une chronique sociale qui met un doigt sur le talon d’Achille de nos sociétés...mm si la maison de correction pour enfants ne sont plus aujourd'hui des prisons impitoyables comme elles l'étaient dans le passé, il faut savoir qu'elles ont existé (lire DELIGNY Fernand)
Ce ne sont pas fondamentalement des personnes mauvaises, dénuée d'empathie et de bienveillance. De Christopher Nolan
Il entend les confessions, célèbre des messes en prenant quelques libertés par rapport au rituel, mais sans offusquer les fidèles, visite les personnes… Un étranger, tantôt messie, tantôt paria. Un film passionnant qui marque fortement les esprits.
Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait Bande-annonce VF
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: Le journaliste Mateusz Pacewicz avait couvert ce fait-divers et il en a tiré le scénario de La communion, en ajoutant 2 éléments très importants : Daniel, le faux prêtre du film, sort d’un centre de détention pour mineurs dans lequel il avait été envoyé pour un meurtre commis à l’âge de 15 ans ; le village dans lequel il est amené à officier a connu une tragédie peu de temps auparavant : un accident de la route qui avait fait 7 morts et entrainé le rejet d’une habitante du village par le reste de la communauté. Est-ce un échec en sus ?