Acheter une maison en Espagne et la louer une bonne partie de l’année est devenu un placement intéressant pour tous ceux qui souhaitent investir dans la pierre. Investir son argent dans un parking est alors un business qui peut devenir juteux et rapporter gros aux investisseurs. Ce placement va vous rapporter de l’argent au bout de trois ans, environ 4 % par an.

L'association joue le rôle d'intermédiaire entre les investisseurs et les éleveurs Investir dans un cheptel : le principe Vous décidez d'acheter une ou plusieurs vache (s) laitière (s).

Le principe que propose l’Association Française d’Investissement en Cheptel (AFIC) est simple.Un particulier choisit d’acheter une ou plusieurs vaches laitières. Aujourd'hui, sa ferme livre par camion aux plus grands établissements du Burkina Faso. Investir dans une vache laitière est aussi un placement juteux. L’option «produit annuel» consiste à mettre en vente chaque année les bêtes devenues adultes.L’option «croissance du troupeau» correspond elle à conserver les génisses supplémentaires. Voici donc une démarche de plus à dénoncer et combattre: la conception de la vache comme investissement personnel… comme placement, comme… action!Investir dans une vache est devenu un placement juteuxAvec un rendement moyen de 4 à 5% par an, l’investissement dans un cheptel est plus rentable que le livret A à 1,25%. La France comptait 3678 milliers de têtes de bétail en 2011, selon France Agrimer. Si l’achat d’une vache peut paraître incongru au Québec à moins d’être producteur laitier, il semble que cela soit possible ailleurs, en France notamment. En effet, il est possible d'investir une partie de ses économies dans un bail à cheptel, géré par l'Association française investissement cheptel (AFIC). Investir dans une vache. Enfin, selon Pierre Marguerit, il y gagnerait aussi sur le plan fiscal. C’est un placement globalement peu risqué, même si évidemment un livret comporte moins de risque (et vous paye des clopinettes). Placer son argent dans un cheptel rapporte. Avec une vache qui coûte 1630 euros et un rendement moyen de 4 à 5%, l’investisseur peut doubler son cheptel en 20 ans. Pour la payer, il utilise la vente des mâles du cheptel.Si l’animal meurt, l’assurance la remplace. Ses investissements sont réduits car il ne finance pas l’achat de bêtes. Une vache coûte 1630 euros.«Il n’y a pas de risque. Une solution existe, les confier à un éleveur professionnel. Les vaches laitières sont des produits alimentaires de base.On aura toujours besoin de lait, ou de viande», précise Jean-Claude Janes.De plus, l’éleveur a l’obligation de prendre une assurance en cas de perte d’une vache. L’AFIC, qui regroupe les investisseurs, confie les dossiers à un intermédiaire: la société Élevage et Patrimoine, en charge de la régie financière des dossiers.Cette dernière loue les cheptels à des éleveurs, qui sont en charge d’assurer les soins et l’entretien du troupeau.Elle compte 18.000 têtes de bétail en location, 30.000 au total avec les génisses, partagées entre 1000 propriétaires et 800 éleveurs. Ici, vous alimentez une réserve dans laquelle le site viendra puiser pour prêter aux emprunteurs. Jean-Claude Janes a commencé à investir dans un cheptel en 1982, par l’achat de quelques vaches.«J’habitais en province, je suis tombé sur une page de publicité qui vantait ce système», explique-t-il. Vous récupérez le lait et avec les années votre troupeau augmente. Avec une vache qui coûte 1630 euros et un rendement moyen de 4 à 5%, l'investisseur peut. Avec un rendement moyen de 4 à 5% par an, l’investissement dans un cheptel est plus rentable que le livret A à 1,25%. C’est un placement qu’il faut tenter au vu de son accessibilité. Investir en Espagne est d’autant plus intéressant si vous êtes français et que vous souhaitez acheter une … Le Burkinabé Richard Moné a commencé avec quelques poussins. L'investissement dans les vaches laitières est un investissement à long terme, rentable et éthique. ... nourrir un continent qui affiche une démographie galopante. Dans de nombreux lieux, il est difficile de dégager des profits avec un petit élevage. La société Gestel gère quant à elle la régie technique.Pour l’investisseur, c’est un moyen de diversifier ses revenus, explique Pierre Marguerit, président de la société Élevage et Patrimoine. Je suis très heureux de cet investissement», ajoute-t-il.Pierre Marguerit et Jean-Claude Janes se rejoignent sur un point: c’est un placement peu volatil. Le système étant mutualisé, les investisseurs ne voient pas leurs vaches: «Vos vaches sont des actions, on ne sait pas où elles sont.»Deux options s’offrent chaque année à l’investisseur. Avec une vache qui coûte 1630 euros et un rendement moyen de 4 à 5%, l'investisseur peut doubler son cheptel en 20 ans. La vache s’est reproduite, et son veau devenu adulte va commencer à donner du lait.