Les autorités ont entamé le processus de financement pour remplacer les six barrages hydroélectriques sur le lac, qui ont été construits à la fin des années 20. Une écluse de castors a cédé la fin de semaine dernière à Saint-Félix-d’Otis, au Saguenay et a fait beaucoup de dégâts: infiltration d’eau dans des maisons et des routes affaissées. Trois cents personnes sont portées disparues après la rupture, vendredi, du barrage de Brumadinho, dans le sud-est du Brésil. «Il a cédé», explique simplement le maire de la municipalité, Pierre Deslauriers.«Il y a eu de la pluie, le terrain est en terre noire, c'est un sol légué et c'était au moins 7 pieds de haut donc ça fait un bon coup d'eau», ajoute M. Deslauriers.Ce barrage qui a cédé a fait bien des dommages. Une écluse de castors a cédé la fin de semaine dernière à Saint-Félix-d’Otis, au Saguenay et a fait beaucoup de dégâts: infiltration d’eau dans des maisons et des routes affaissées.Le barrage n'a pas résisté aux pluies diluviennes des derniers jours. Des images impressionnantes d’un barrage qui cède. Texas : un barrage cède sous la pression de l'eau pic.twitter.com/P9zXGcHgbc — BFMTV (@BFMTV) 16 mai 2019 Une réalisation de MédiaQMI inc. Une rupture de barrage se produit lorsque la structure cède du fait … La municipalité a donc pris les grands moyens: elle a engagé un trappeur. La société de gestion la surveillait depuis quelques semaines en raison des risques. Les autorités demandent d'ailleurs aux citoyens de les aviser s'ils aperçoivent un barrage qui nécessite une intervention. Copyright © 1998-2019 - Tous droits réservés.
... Publié le 17 mai 2019 à 08:33 - Mis à jour le 17 mai 2019 à 08:34 Ajouter aux favoris. Une digue a cédé sous la pression de l’eau, samedi en fin d’après-midi, sur la rue Olivier dans le secteur Ahuntsic-Cartierville à Montréal. Au Brésil, quel est ce barrage de Brumadinho qui a cédé ? La structure centrale du lac Dunlap a cédé mardi sous la pression de l'eau de la rivière Guadeloupe. Les castors sont de plus en plus nombreux sur ce territoire. «C'est décourageant, il y avait de l'eau dans le sous-sol, dans le garage, partout sur mon terrain. À un certain âge, tu ne veux plus te faire reconstruire ces affaires-là», avoue Roger St-Hilaire, un citoyen du secteur.Et ce n'est pas la première fois que cette municipalité est confrontée à une telle situation. «Il y a un protocole, je vais chercher et je défais les barrages par la suite, il faut faire ça, car si je fais juste en prendre quelques-uns et les emmener ailleurs, je ne fais que déplacer le problème», mentionne Yvan Tremblay. Heureusement, le déversement n'a pas occasionné de dégâts majeurs. «Avant il y a avait des trappeurs, là la valeur de la fourrure a diminué, il y a donc moins de trappeurs et plus de castors», explique le trappeur Yvan Tremblay.Plus de castors signifie donc plus de barrages.