Tout déplacement est rendu impossible. En tout état de cause, il n’y aura pas de happy-end pour les pauvres bêtes qui ne seront pas empaillées. En outre, on ne soigne pas le mal par le mal et jamais un animal sauvage, qu’il soit né en captivité ou pas, ne sera heureux dans une cage. Certains dresseurs repentis ont d’ailleurs levé le voile sur la vérité. Il n'est pas dans la nature de l'animal de faire des numéros de clowns et le public est encore loin de s'imaginer les techniques qui sont utilisées pour amener un animal à exécuter un ordre demandé. Tout déplacement est rendu impossible. Ils sont également 70% à être conscients des dangers que la présence de ces animaux dans les cirques impliquent. "La Voix des bêtes" est une revue bimestrielle qui soutient les objectifs de la protection animale.Elle propose à ses lecteurs des informations sur l’actualité du monde animal, les textes de lois, les conseils du vétérinaire, les livres parus, le courrier des lecteurs et des dossiers sur des sujets particuliers.Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. Cette hausse est dûe à la baisse du braconnage dans le pays. Au moindre faux mouvement, il plantera ce pique dans les partie les plus sensibles du corps de l’animal : derrière les oreilles ou sur la trompe, obtenant par la douleur l’obéissance instantanée du pachyderme. Elles finiront généralement leurs jours dans les « quartiers d’hiver » des cirques où les conditions de vie ne sont pas plus enviables, prisonnières et en souffrance jusqu’à leur mort. Et quand bien même ils le voudraient, ils seraient bien incapables de proposer à leurs prisonniers des conditions de vie décentes, en adéquation avec leurs besoins les plus élémentaires car ils ne pourraient pas se déplacer comme ils le font en trimballant des infrastructures trop importantes.
Malheureusement beaucoup de parents emmène encore leurs enfants au cirque en ne pensant pas à mal. Paul Leroyer, ancien dompteur parlait même du dressage en ces termes : « On torture les animaux à des fins lucratives. Le 18 décembre dernier, le parlement Belge votait à une large majorité l’interdiction des animaux sauvages dans les cirques. Cet animal fut pendant des années au spectacle de toute la bêtise et la cruauté dont les humains sont capables. En outre, ce caractère itinérant rend les contrôles très difficiles. Contre les cirques et l'enfermement des animaux. Contrairement aux idées reçues, rares sont les animaux détenus par les cirques qui finissent leurs jours dans les zoos. Ils ont besoin de se baigner chaque jour pour hydrater leur peau fragile. C’est là qu’ils vont passer le plus clair de leur temps à ne rien faire d’autres qu’attendre. Ce sont les seuls mouvements que permettent leurs entraves et c’est pour ces animaux l’unique moyen d’évacuer une partie de la frustration provoquée par ces conditions de vie sordides. Il est d’ailleurs surprenant de savoir que si les parcs zoologiques recueillent rarement les animaux des cirques, la réciproque n’est pas toujours vraie et certains zoos n’hésitent pas à vendre des animaux sauvages à des cirques, sachant pertinemment les conditions de vie et de dressage qu’ils se verront offrir. Un seul texte régit les conditions de détention des animaux dans les cirques et il demeure bien insuffisant pour garantir à ces animaux captifs des conditions de vie acceptables.Les cirques n’ont aucune vocation éducative. Il est d’ailleurs surprenant de savoir que si les parcs zoologiques recueillent rarement les animaux des cirques, la réciproque n’est pas toujours vraie et certains zoos n’hésitent pas à vendre des animaux sauvages à des cirques, sachant pertinemment les conditions de vie et de dressage qu’ils se verront offrir. Les circassiens ont beau dire qu’ils ne maltraitent pas les animaux, les témoignages et vidéos qui circulent sont éloquentes et insoutenables.Ces esclaves vont passer 90 à 95% de leur vie dans une cage ou entravés par des liens ou des chaînes. En effet, étant par nature itinérants, il est difficile de contrôler les cirques et ces derniers flirtent généralement avec l’illégalité. On observe chez la plupart des animaux détenus par les cirques des troubles du comportement en réponse au stress quotidien provoqué par l’annihilation de leur nature, conséquence d’une vie de privation. Car les paillettes dissimulent la réalité à laquelle doivent faire face les animaux dans les cirques. Contrairement aux idées reçues, rares sont les animaux détenus par les cirques qui finissent leurs jours dans les zoos. ), nous rappellerons que les cirques ne pratiquent aucun programme de reproduction en vu de réintégration des espèces dans leur milieu naturel.
Il se persuade que le sujet prend plaisir à exécuter un numéro, qu’il est câliné et dorloté par un maître du soir au matin, et qu’il aime ce maître, à en mourir. You also have the option to opt-out of these cookies.