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Tout un choc pour les petits de devoir apprivoiser cette nouvelle marmaille. Ce que je trouvais difficile, c'était de n'avoir personne à qui communiquer mes émotions ou tout simplement parler de ma journée. Un foyer se construit autour d'une famille. Par exemple, le fait de rester dans les lieux après le décès de son conjoint, de délivrer une assignation 3 mois après le décès, dans laquelle le souhait de conserver le logement est exprimé et, enfin, de confirmer ce souhait dans un projet d’acte de notoriété, ne nécessite aucun formalisme supplémentaire (Cass. Mais j'aurais regretté.» «Au début, c'était très différent de voir la maison vide, surtout que j'ai pris soin de mon mari à la maison pendant longtemps. Personne ne peut donc priver le conjoint de ce droit.
Claire De Grandpré, elle, a choisi de demeurer dans la résidence familiale après la mort de son mari des suites d'une longue maladie, en janvier 2003. Explications des architectes Nathalie Thibodeau et Renée d’Amours. Débats Ce droit est considéré comme un effet du mariage, il ne fait pas partie des droits successoraux. C'est nécessaire, surtout pour les enfants.» L'intervenante souligne qu'il faut laisser couler le temps.
Il y avait trop de souvenirs», confie-t-elle d'un ton calme.
La pandémie a ralenti quelque peu la progression de certains chantiers, mais les travailleurs et les grues reprennent le temps perdu depuis quelques semaines déjà. «Il ne faut pas décider sur le coup de l'émotion», juge-t-elle. Il y avait trop de souvenirs», confie-t-elle d'un ton calme. Gourmand J'ai fait beaucoup d'activités et je me suis occupée de ma petite-fille, Clara», raconte-t-elle. En principe, après le décès du locataire en titre, le bail d'habitation à titre de résidence principale est transféré automatiquement au conjoint survivant (article 1751 du Code civil). Maintenant, je me suis adaptée.» Pour elle, l'important, c'était de s'écouter. Lorsque le parent survivant décide de s'établir avec un nouveau conjoint, d'autres enfants s'ajoutent souvent. Elle dénote le rôle thérapeutique de toutes ces petites choses qui rappellent l'aimé. «Un coup rentré ici, je voulais que ma maison devienne notre maison. Le conjoint survivant peut, dans certains cas, rester à vie dans le logement. Un appartement en vente à Québec peut se targuer d’avoir hébergé, il y a près de 300 ans, le général Montcalm quelques mois avant sa mort lors de la bataille des plaines d’Abraham. Je n'ai rien changé à la maison à cette époque. Voyons ce sujet plus en détails. Au sein de certaines résidences, de solides liens se sont tissés entre copropriétaires, qui se retrouvent volontiers autour d’un verre ou d’activités en tous genres, au point de créer de petites communautés où l’on partage bien plus que des fonds de prévoyance.
Mais surtout, ils doivent comprendre et être impliqués dans la démarche. Elle accélère l’instauration de pratiques qui existaient déjà, mais à plus petite échelle.
On partage tout.
«Je voyais mon conjoint partout. Pour ceux qui restent, il est important de bien s'entourer face aux responsabilités d'entretenir une maison en solo, selon Mme De Grandpré. Des propriétaires nous ouvrent les portes de leur demeure d’exception, offerte sur le marché de la revente. Le tour du propriétaire : la Maison Buchanan prête à changer de destinée Peut-on imposer le port du masque dans les immeubles privés ?L’expo sur le béton de retour au Centre de design de l’UQAMUn cœur tanguant sur le bord du lac des Deux MontagnesHabiter les années 70 aux abords du lac des Deux MontagnesImmobilier: la COVID-19 transforme les visites libres
«Pour certains, c'est trop douloureux. Il ne faut pas qu'il reste de l'amertume. Je suis restée chez lui de fin juillet au 11 février 2019 . En voici quelques-unes, qui gagneront en importance. Alors j'ai décidé de rénover.» Elle vit désormais avec son nouveau conjoint dans cette demeure. Pour les enfants qui ont perdu un parent ou une soeur, c'est beaucoup. Bien que le gouvernement n’ait pas rendu le port du masque obligatoire dans les aires communes des immeubles d’habitation, des voix s’élèvent pour qu’il le devienne. Dans les autres cas, en location vide, l'article 14 de la loi de 1989 permet à certaines personnes qui vivaient dans le logement avec le défunt sans être locataires d'obtenir le transfert du bail lors du décès du titulaire. Les personnes qui veulent vendre le font souvent pour se débarrasser de tous leurs souvenirs. Dure question, surtout lorsque le drame implique des enfants.Un foyer se construit autour d'une famille. Sports Au bout d'un an, Claire a décidé de garder la maison de plain-pied où ses enfants avaient grandi, entre autres, parce qu'une de ses deux filles avait toujours besoin de place pour le rangement. Il existe plusieurs possibilitésDu coup même si le logement appartenait en propre au défunt, le conjoint survivant conserve le droit d’habiter la résidence principale du couple pendant une année. Plusieurs personnes vendent leur demeure devant le poids des responsabilités financières ou des tâches quotidiennes, un élément qui peut compliquer le deuil.