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Ces documents sont de diverses natures, pouvant comprendre des documents iconographiques, un texte, un document sonore (qui ne peut dépasser 5 minutes) ou audiovisuel. Les caractéristiques des œuvres reproduites (plastiques, techniques, procédurales, iconiques, sémantiques, symboliques, etc.) Un même dossier sert d’appui au traitement des deux parties. Le candidat amène le jour de l’épreuve les différents carnets qu’il a constitués lors de son parcours de formation.Le candidat est noté sur vingt points répartis comme suit :Les carnets sur lesquels s’appuie le candidat lors de l’entretien ne sont pas pris en compte dans l’évaluation.L’épreuve orale de contrôle repose essentiellement sur le carnet de bord élaboré par l’élève au cours de l’année scolaire :L’épreuve d’histoire des arts comprend deux parties : une partie écrite et une partie orale.L’objectif de l’épreuve est d’évaluer les compétences d’ordre culturel, critique et méthodologique du candidat, en rapport avec les connaissances, les compétences et les attendus de fin d’année définis dans le programme de spécialité en terminale, qui permettent au candidat :Trois sujets au choix sont proposés au candidat. La partie orale porte sur la pratique et la culture circassienne.Objectifs de l’épreuve : En relation avec les attendus de fin de lycée du programme de spécialité de terminale, le candidat est évalué sur sa connaissance et sa compréhension des arts du cirque, sur sa capacité à analyser une thématique, une démarche ou une proposition artistique et à construire un propos argumenté et organisé, ainsi que sur ses qualités d’invention, de créativité et d’argumentation. Le candidat imagine et développe un projet de réécriture cinématographique de l’extrait dans une note d’intention manifestant sa compréhension de la consigne et la manière dont il l’actualise. ).Le temps des trois visionnages est intégré à la durée de l’épreuve. Un sujet au moins est sous forme de dissertation, et un sujet au moins est sous forme d’une composition sur documents.Le candidat traite un sujet dont la formulation peut prendre des formes diverses : reprise d’un intitulé du programme limitatif, question ou affirmation, problématique explicite ou non ; elle peut être brève ou détaillée, et s’appuyer ou non sur une citation. La dimension collective de l’épreuve pratique peut en effet être admise, avec un effectif d’élèves approprié. Arts. Pour cette interprétation, les candidats scolaires peuvent être seuls ou en groupe. Il engage par ailleurs le candidat à approfondir les liens qu’il établit avec sa culture plastique et artistique. La forme et les données matérielles du carnet de travail sont libres.Un document de synthèse, rédigé par le professeur, décrit sommairement en une page, les grandes étapes du travail de la classe et atteste de l’authenticité du projet présenté par le candidat.L’évaluation porte sur les compétences travaillées et les attendus de fin de cycle plus particulièrement mobilisés par la pratique plastique et artistique figurant au programme de l’enseignement de spécialité. Chacune de ces parties compte pour la moitié de la note globale.L’épreuve propose trois exercices indépendants, les deux premiers reposant sur l’écoute réitérée d’extraits musicaux enregistrés dont le plan de diffusion est précisé par le sujet.La durée de chaque exercice, inscrite dans les fourchettes indiquées pour chacun d’entre eux, est également précisée par le sujet.L’extrait support de cet exercice est diffusé à plusieurs reprises selon le plan de diffusion précisé par le sujet. Chaque œuvre présentée est précisément identifiée et située, de même que chaque document comporte la mention de sa source, à l’exclusion de tout autre commentaire écrit.Le candidat compose ce portfolio autour d’une problématique de son choix, reliée à une question du programme limitatif et qu’il lui appartiendra d’exprimer oralement lors de l’épreuve. Le candidat décrit avec un vocabulaire adapté les éléments caractéristiques et l’organisation musicale de l’extrait proposé.Les deux extraits supports de cet exercice sont diffusés successivement à plusieurs reprises selon le plan de diffusion précisé par le sujet. La rédaction, d’une à deux pages, est obligatoirement accompagnée de quelques schémas et croquis.Cette partie de l’épreuve est notée sur 20 points répartis comme suit :Le candidat utilise le temps de préparation pour disposer dans la salle d’examen, sans commentaires d’accompagnement, les éléments de son projet (réalisations plastiques et dossier). Selon l’enseignement artistique suivi, ils constituent également eux-mêmes leur carnet de bord, de création ou de travail.Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. L’oral prend appui sur le projet (réalisations et dossier) et sur le carnet de travail qui ne sont pas évalués en tant que tels.Elle se déroule sous la forme d’un entretien en deux temps prenant appui sur des documents proposés par le jury.Pour l’une et l’autre partie de l’épreuve, le jury évalue les connaissances du candidat et les compétences qu’il mobilise dans l’appropriation de questionnements induits par les documents proposés.L’épreuve est notée sur vingt points répartis comme suit :La partie écrite de l’épreuve est relative à la culture et à la pratique du cinéma-audiovisuel. Elle est accompagnée de sept documents maximum renvoyant à cinq œuvres. Le candidat peut, s’il le souhaite, prendre appui, au cours de cet entretien, sur les différents carnets (de bord et/ou de création) qu’il a constitués lors de son parcours de formation.Dans le cas d’une composition collective, les entretiens sont toujours individuels.Un document de synthèse, rédigé par le professeur de la classe et visé par le chef d’établissement, décrit sommairement, en une ou deux pages, les grandes étapes du travail de la classe. On n’exige pas nécessairement l’analyse de l’intégralité du dossier.